中-La chanson du 19 mars

Le 19 mars, une chanson non-暗い

La voici :



中- dernier cours, "Laura"

Pour finir, une chanson que je n'aime pas beaucoup, chantée par quelqu'un que j'aime assez : LAURA par Johnny Halliday.
Cette chanson nous permettra de faire le lien avec le cours de printemps et le film "Insoupçonnable" que nous regarderons ensemble. La vedette de ce film est Laura Smet - la Laura de la chanson - fille de Nathalie Baye et de Johnny Halliday.

Ces deux photos sont extraites du film de Jean-Luc Godard, "Détective" (1985) dans lequel jouent Johnny Halliday et Nathalie Baye. Laura (née en 1983) avait donc deux ans. Sur la photo du bas, Laura Smet et sa mère, récemment.


Marc Dugain : "L'insomnie des étoiles"

Ce lien mène au site de TF1 pour un entretien avec Marc Dugain.
Marc Dugain : "L'insomnie des étoiles"
Vous connaissez peut-être le film de François Dupeyron de 2001, "La Chambre des officiers". Il s'agissait de l'adaptation d'un roman précédent de Marc Dugain.
Boeki11-8-Marc Dugain

上- 6e cours : Une année étrangère, de Brigitte Giraud

J'essaie d'alterner les romans faciles à comprendre et les autres. Après Marie NDiaye, voici "Une année étrangère" de Brigitte Giraud. Il n'y a pas de difficulté dans la langue ni dans l'histoire qu'elle raconte, tout du moins dans les premières pages, qu'on étudiera.

Présentation du livre
Partie en Allemagne comme jeune fille au pair, Laura, à dix-sept ans, découvre qu’elle ne connaît pas si bien la langue du pays. Puis c’est au tour de la famille qui l’accueille, un couple et deux enfants, de la troubler par leur simple mode de vie, leur comportement, leurs habitudes. Brigitte Giraud lit un extrait de son dernier roman "Une année étrangère" (Stock).

Pour Libération, Brigitte Giraud lit un extrait. Attention, ce n'est pas le début du roman.
 

Ici, Brigitte Giraud présente son roman.




Le premier chapitre
Pour télécharger le premier chapitres avec les commentaires : ici

Cela se passe dans le froid d'un hiver allemand. Je descends du train après avoir parcouru plus de mille kilomètres. Madame Bergen m'attend au bout du quai. Grande, grave et belle. Notre premier échange est bref et approximatif. Je ne suis pas sûre de comprendre tous les mots qu'elle prononce. Mais je hoche la tête en signe de bonne volonté. Je ne sais exactement pourquoi je suis là. Ce que je laisse derrière moi ne peut se résumer en quelques mots. Disons pour simplifier que mon dessein officiel est de perfectionner mon allemand, que je pratiquais au lycée comme première langue. Je suis là pour apprendre. Alors ne perdons pas de temps. J'y suis, consentante. Et dès le premier instant, malgré le sommeil qui me guette, j'apprends. J'apprends qu'on ne marche pas sur la glace en baskets. J'apprends que, malgré quatre heures d'allemand hebdomadaires depuis plusieurs années, je ne comprends pas une seule phrase en entier. Je pose mon bagage à l'arrière de la voiture, un minibus Volkswagen. Je souffle sur mes doigts gelés. Je n'ai pas dormi depuis vingt-quatre heures mais je suis jeune et pleine de ressources, comme aiment à le répéter mes parents. Cela se passe dans un port de la mer Baltique. Je viens d'avoir dix-sept ans.

Madame Bergen conduit doucement. Je fais des efforts pour ne pas m'endormir. Elle me pose une question dans laquelle je reconnais le mot « supermarché ». Je m'accroche à ce mot et acquiesce. Mais ce n'est pas vraiment une question, plutôt une information. Quand bien même je ne serais pas d'accord, je ne dispose pas d'assez de vocabulaire pour exprimer clairement, sans être désagréable, que je n'ai qu'une envie, c'est aller dormir. Madame Bergen s'étonne que je ne commente pas le paysage, nous franchissons une rivière dont elle me donne le nom, et je dis que « das ist sehr schön » (c'est très beau). Je ne sais pas si cela est beau, mais je n'ose rester muette. C'est surtout loin de chez moi. Et c'est très blanc aussi, les trottoirs, les arbres, le ciel. Nous longeons le port marchand. Madame Bergen me donne quelques explications en lâchant le volant. Je pense qu'elle me parle des conserveries dans lesquelles travaille un parent, mais je ne suis pas sûre, c'est en tout cas ce que j'imagine, un frère peut-être qui met des harengs en bocaux. À moins qu'il ne s'agisse de son mari, ou du frère de son mari. Nous remontons une ruelle en pente avant de nous garer sur le parking, presque vide, d'un supermarché.

Madame Bergen achète des tranches de foie pour le repas du soir, après s'être assurée que j'aime le foie. Bien sûr, je hoche encore la tête en souriant pour masquer l'inquiétude qui me gagne. J'ai peur de regretter d'être venue ici, manger des tranches de foie avec une famille que je ne connais pas, à des heures de train de la famille que je connais. Nous passons à la caisse et je porte le filet de pommes de terre ainsi que le pain de seigle. Il n'est que trois heures de l'après-midi et la nuit tombe déjà. Madame Bergen se réjouit que je fasse connaissance avec les enfants qui nous attendent à la maison : Thomas et Susanne, quatorze et neuf ans, c'est écrit sur la fiche que j'ai reçue avant d'accepter ma mission. J'ai hésité quand j'ai vu l'âge du garçon, mais j'ai décidé que cela ne changerait rien.

Je n'avais pas compris que la maison était hors de la ville. Nous prenons une voie rapide et roulons une vingtaine de minutes dans l'obscurité le long d'une forêt enneigée. Madame Bergen met la radio et me parle du résultat des élections. Je ne sais de quelles élections il s'agit mais je me promets d'acheter un journal dès le lendemain pour me tenir au courant de tous les détails de ma nouvelle vie allemande. Nous roulons avec les essuie-glaces et les phares sur une route humide et je mesure ce qui sépare le Nord du Sud. Nous nous garons devant l'entrée d'une grande villa, isolée près de la voie ferrée. Un chien pose ses pattes sur mes hanches, renifle mes chaussures et mes bagages, alors que les enfants restent assis devant la télévision. Je suis debout dans le hall d'entrée, les pieds mouillés et les yeux brillants de fatigue. Je suis Laura, jeune fille au pair, dans ma patrie provisoire pour six mois. Je commets probablement une erreur en venant vivre ici. Je ne le sais pas encore, mais je ne peux rien éviter de ce qui va arriver.

Ce sont les enfants qui me conduisent dans ma chambre, une petite pièce au sous-sol, en bas de l'escalier. Je voudrais demander d'où vient cette forte odeur d'essence, mais je n'ai pas tous les mots pour construire une phrase correcte. Alors je ne demande rien, je me contente de sourire et d'accepter ce qu'on me donne. Je pose mon sac sur le lit une place. Thomas ouvre l'armoire et me montre les rayonnages vides ainsi que le miroir accroché à l'intérieur de la porte. Madame Bergen nous rejoint et s'excuse pour les relents d'essence. Thomas gare sa mobylette juste au-dessus, à la hauteur du vasistas. En effet, à travers les motifs du rideau, je devine le deux-roues. Je dis : « Ja natürlich » (Oui, bien sûr) parce que je ne vois pas ce que je pourrais dire d'autre, suggérer que Thomas gare sa mobylette ailleurs, par exemple. Madame Bergen m'invite à visiter le sous-sol. Ici la buanderie avec une machine à laver et du linge qui sèche, là la chaudière, et face à ma chambre, ce qu'elle appelle la « Diskothek », une pièce entièrement revêtue de bois, un bar, des sièges hauts, une banquette et une petite piste de danse.

Je ne sais quoi faire après avoir mis mes vêtements dans l'armoire et installé mon minicassette sur la table de nuit. Le plus simple serait de me glisser sous les draps et de m'abandonner à la mélancolie qui me gagne. Mais j'ai peur de me laisser aller. Je ne dois pas rester immobile. J'ouvre la porte de l'armoire et je suis face au miroir, assise sur le petit lit. Je ne comprends pas comment j'ai pu me couper les cheveux aussi affreusement avant de partir. Mèche après mèche dans ma chambre française, j'ai taillé si court qu'on aperçoit mon crâne. Je n'osais plus sortir et croiser ma mère. Elle m'a demandé, avec un genre de pitié dans les yeux, pourquoi je voulais à ce point m'enlaidir. Là, devant le miroir de ma chambre allemande, je me rends compte que ma mère n'avait pas tort. Demain j'achèterai du gel et mettrai un peu d'ordre dans ma nouvelle tête. Je ne sais si je dois regagner le salon où les enfants regardent à nouveau la télévision, si je dois aider madame Bergen à la cuisine. Je monte l'escalier au moment où monsieur Bergen fait son entrée. Il est à peine six heures, et nous passons bientôt à table.

Tout le monde parle. Beaucoup. Vite. Fort. Je m'agrippe à quelques mots qui me mettent sur la piste. Puis je perds le fil, dérive avant de revenir in extremis dans la conversation. Je dois faire répéter les questions deux fois, je fronce les sourcils en même temps que je regarde fixement monsieur Bergen quand il veut savoir si je n'ai pas peur de me lever tôt. Les enfants doivent être à l'école à sept heures trente, et c'est moi qui accompagne Susanne. Madame Bergen met dans mon assiette la plus grosse des tranches de foie, avant que j'aie osé protester, et je sais que manger cette tranche de foie me sera impossible. J'ai deux problèmes insolubles dès le premier repas, venir à bout de l'énorme escalope dont l'odeur m'indispose et assimiler le grand nombre d'informations qu'on me donne pour le lendemain. Une autre inquiétude me gagne : chacun doit se demander qui est cette fille quasiment muette, dont le faciès imbécile se contente de sourire, interrogeant du regard les uns et les autres, cette fille manifestement empêchée, dépassée par les événements, une gentille fille probablement, puisqu'elle caresse le chien tout en chipotant avec sa viande, mais une pauvre petite à coup sûr, dont l'étrange coupe de cheveux trahit un dérangement certain. Je me lève pour proposer de l'aide à madame Bergen, piétiner avec elle dans la cuisine, mais elle m'engage à me rasseoir aussitôt, m'exposant aux questions des enfants et aux recommandations mystérieuses du mari, qui, comble de malchance, roule les r. Je veille à ce que l'attention se détourne de ma tranche de foie mais chacun insiste au contraire, riant de mon manque d'appétit. Monsieur Bergen en oublie d'essuyer le gras accroché à sa moustache. Chacun s'amuse, le volume monte d'un cran. Les parents débouchent leur deuxième bière et allument des cigarettes. Les enfants jouent avec le chien, qui jappe sans que cela dérange personne. Chacun entre en scène, crie plus qu'il ne parle et j'ai peur de ne rien savoir de ce qui m'attend demain. Tout le monde a quelque chose à raconter, mais personne n'écoute personne. Personne ne me demande qui je suis, d'où je viens, et pourquoi je suis chez eux plutôt que chez moi.

C'est Susanne qui frappe à ma porte à six heures du matin, et j'ai l'impression qu'elle interrompt une nuit qui aurait pu durer toujours. La chaudière près de ma chambre souffle bruyamment. Personne ne bouge dans la maison. Susanne prépare son petit déjeuner seule et c'est elle qui m'apprend ce que je dois faire. Nous nous installons l'une en face de l'autre sous la lumière crue de la cuisine, et je sens qu'elle m'observe comme si je venais d'une autre planète. Je ne sais pas me servir de la cafetière et j'ouvre tous les placards avant de trouver ce dont j'ai besoin. Les phrases qu'elle prononce résonnent comme autant d'énigmes à déchiffrer. Je sens que je déçois Susanne, et j'ai peur d'éconduire son attente. Je sens qu'elle me juge, je ne sais si je l'amuse ou si je l'exaspère. Ce qui est sûr est que Susanne fait démonstration de son savoir-faire et de son autonomie. Elle n'est pas loin de se moquer de moi, en attendant, elle me teste. Je dois reprendre la situation en main. Alors je lui demande d'aller se laver et de préparer son cartable. Mais elle rectifie ma phrase. Je ne maîtrise pas encore bien la différence entre le COD et le COI, et en allemand, cela peut vite tourner au drame. Je ne sais toujours pas si les parents sont « schon weg » (déjà partis) ou s'ils « schlafen noch » (dorment encore). Susanne me demande de démêler ses longs cheveux, ce qui lui donne l'occasion de se tordre de douleur devant le miroir de la salle de bains et de me jeter des regards noirs. Nous sortons et les deux voitures des parents sont là, devant le garage. Rien ne bouge dans la maison.

Nous marchons dans la nuit jusqu'à l'arrêt de la navette scolaire et nous sommes seules à attendre. Le vent fait ployer les arbres qui bordent la forêt et la neige tombe des branches par paquets. Susanne monte dans le car sans me dire au revoir. Je ne sais si je tiendrai longtemps ainsi, à marcher dès l'aube dans le vent glacé, alors que les parents de la petite fille dont je m' occupe dorment à poings fermés. Il y a quelque chose que je ne comprends pas, quelque chose dont on m'a peut-être parlé mais que je n'ai pas saisi. Je rentre en longeant la voie ferrée, la tête enfoncée sous ma capuche, et je ne sais ce qui me pousse à retourner chez les Bergen, franchir la porte de cette maison alors que rien ne m'y oblige. J' avance en guettant les premiers signes du lever du jour, mais la nuit semble éternelle et seul me parvient le bruit de mes semelles crissant dans la neige.

Une lumière est allumée à l'étage quand j'arrive et la télévision fonctionne déjà dans le salon. Thomas descend l'escalier, pose son sac sur la table et boit un verre de lait sans prendre le temps de s'asseoir. Nous ne savons quoi nous dire, je précise toutefois que dehors « es ist kalt » (il fait froid), comme si c'était une révélation. J'imagine que je ne vais pas prononcer ce modeste enchaînement de mots tous les matins, à seule fin d'éviter le silence qui m'encombre. Je voudrais demander à Thomas combien de kilomètres il doit parcourir et si ce n'est pas trop difficile de faire le trajet à mobylette, mais il semble pressé et je n'ose me lancer. J'aimerais qu'il sache que je ne suis pas indifférente, qu'il peut aussi compter sur moi. Une fois Thomas sorti, je reste debout dans la cuisine sans savoir comment poursuivre. Cela me gêne que les parents ne soient pas encore levés. Je me demande si c'est tous les jours pareil. Je commence à placer les bols et les ustensiles dans le lave-vaisselle, j'essuie la table et le plan de travail. Je range les paquets de céréales et le beurre de cacahouète puis lave les casseroles et la poêle restées dans l'évier depuis la veille. Je vide les cendriers qui débordent, puis je cherche longtemps la télécommande de la télévision pour baisser le son. À l'écran, une jeune femme pédale sur un vélo d'appartement, un sourire éclatant aux lèvres, comme si elle venait d'entrer au paradis. J'attends que le jour se lève pour évaluer la gravité de la situation. C'est bien ce que je craignais, je n'aperçois que des champs enneigés d'un côté, la forêt de l'autre, et une petite route déserte qui descend entre bouleaux et sapins. J'observe au loin derrière la baie vitrée pour m'assurer que je n'ai pas omis une donnée essentielle. Mais non, rien à ajouter, la première maison est au moins à cinq cents mètres. Je n'ose me rendre à la salle de bains à l'étage, de peur d'y croiser les parents. Je me contente du petit cabinet de toilette dans lequel je m'enferme tout en tendant l'oreille. Je fais couler une douche bien chaude, me demandant à quoi va ressembler ma première journée.

中- Deux chansons pour février



Il s'agit de "Heureusement, on ne s'aimait pas" (pour les 5/12 février) et de "Quand on est amoureux" pour les 12/19 février).
• C'est Cora Vaucaire qui interprète "Heureusement, on ne s'aimait pas". Une de ses chansons les plus connues est sans doute celle-ci, "Trois petites notes de musique", composée pour le film "Une aussi longue absence" d'Yves Colpi, palme d'or à Cannes en 1961. C'est elle aussi, qui a créé "Les Feuilles mortes".

Ci-dessous, Jeanne Cherhal en concert.


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Je pense avoir trouvé le film pour le cours de 中級 de printemps. Ça pourrait être "Insoupçonnable". Voici le film annonce. C'est un thriller sans beaucoup de dialogue. Un peu conventionnel mais sobre. À l'intrigue tarabiscotée, comme il se doit. Deux des rôles principaux sont tenus par Laura Smet et Charles Berling. Le film est adapté d'un roman de Tanguy Viel qui porte le même titre.


中級 : les 3 premieres chansons

Vous pouvez écouter les trois premières chanson du cours (8, 15, 22, 29 janvier).



Les deux premières sont assez faciles, la troisième est plus difficile mais elle est chantée lentement. Vous pouvez écouter deux interprétations de cette chanson : d'abord par Georges Brassens, qui l'a écrite, puis par Juliette Gréco.

On étudiera les verbes en rapport avec ces chansons.

PS (24 décembre) : Je viens d'ajouter à la liste une quatrième chanson, Serge et Nathalie, interprétée elle aussi deux fois : par Colette Renard d'abord, puis par son créateur Claude Nougaro. On l'étudiera en février.

上 - 4e et 5e cours : Marie Ndiaye et Robert Bobert


Boeki2011-4-Robert Bobert

Boeki 2011 5 Marie Ndiaye

Le cours d'hiver 2011 à Sakaé

Bonjour à toutes et à tous.
Le cours d'hiver de cette année aura lieu à Sakaé (栄メンバーズオフィスビル)
Accès: quelques minutes depuis 矢場町 (sortie 1) ou (sortie 13 中日ビル).

Calendrier et tarifs
Le programme :

Niveau 中 : Quelques chansons (extraites de l'émission de France Inter "La prochaine fois je vous le chanterai" sur le thème du mariage) +  étude de vocabulaire : comment utiliser les verbes de ces chansons et comment traduire les verbes japonais courants (par exemple 遊ぶ et 楽しめる ou 買う, 返す, 借りる, 貸す, ou encore 押す、引く)...

Niveau 上 : Dix débuts de roman, tous parus ces deux dernières années. Pour connaître l'état actuel de la littérature française. On étudiera les premières pages des derniers prix Goncourt (Michel Houellebecq et Marie Ndiaye), de Modiano, Ravey, Robert Bober, Marc Dugain, etc.

Inscription ici.

Depuis Sakae

「栄」駅 13番出口より徒歩5分
Depuis Yabacho



中2- Quand allons-nous nous marier



Pour vous aider (ヒント)
Cowboy, poupée, chéri(e), convaincre,  le Texas, le Kansas, conquérir (participe passé : conquis), descendre (= tuer), piller, le pôle nord, l'équateur.

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Résumé de la première chanson

- De quoi parle la chanson ?   ( parler de)
- D'une femme qui danse avec son amant pendant que son vieux mari est en train de mourir. Son amant lui dit de rentrer à la maison, mais elle répond qu'elle a le temps et qu'elle ne servirait à rien chez elle. Sauf quand il est question du testament du mari. Alors, là, elle veut rentrer immédiatement.

C'est le thème classique du "barbon" (le vieil homme qui épouse une jeune femme). Et qui est trompé par elle ensuite. C'est aussi le thème de la femme volage et cupide.

La chanson joue sur la répétition de "encore une danse" qui devient è la fin "plus une seule danse".
Au contraire, "Rentre chez toi" est varié à chaque strophe en fonction de la rime (grand temps / souffrant ; chez toi / presque froid, etc.)

Le prénom Frantz est accordé à la musique : une valse, donc d'origine autrichienne.

Bonne année du lapin